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J'ai appris qu'il ne fallait pas se réfugier dans la solitude... Mais j'avais appris cela aussi, sur le plan professionnel en étant disponible et aidant...
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Compris qu'il ne faut jamais baisser les bras quelque soit la situation, ne pas hesiter a parler de nos difficultés
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... vite compris que restituer son individualité à l'aidant et à l'aidé permettait une relation sereine mutualisée et était bénéfique dans l'accompagnement.
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Retraitée, j'étais infirmière en soins palliatifs. J'ai été aidante auprès de mes proches et aussi des aidants de mes malades. J’ai toujours eu à cœur ce principe : "à chaque jour suffit sa peine..."
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mis beaucoup de choses entre parenthèses, j'ai constaté qu'on oublie trop souvent l'aidant qui a autant besoin d'être écouté que l'aidé.
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Jai traversé des moments difficiles, je me suis sentie seule et j'ai ressentie de la colère parfois voir de l'injustice.
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Mon parcours d’aidante m’a appris à écouter et me remettre en question, également à m’écouter et demander de l’aide , aussi à vivre l’instant présent
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parfois craqué, j'étais triste et j'ai demandé de l'aide
Voir le profil de ingrid…
J'ai été présente et à l'écoute. Mon aide était d'ordre pratique mais aussi un soutien moral car la fatigue, la lourdeur du traitement,la peur,l'incertitude rendait l'isolement du malade encore plus difficile et angoissant.
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difficile. Seule, débordante d'énergie pour mes proches
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Voir le profil de Caroline…

j'ai vécu 7ans l'évolution de la maladie "Richardson", maladie cousine germaine de parkinson, d'un de mes proches. Depuis 7 mois mon père est hospitalisé, nous avons changé 4 fois d'hopital et découvrons la compléxité des différents services, soins de courts ou longs séjours.....
Voir le profil de consuelo…
. La première fois je suis allée au-delà de mes limites, jusqu’au burnout et jusqu’à déclencher de nombreuses maladies. Les fois suivantes j’ai su beaucoup mieux gérer mon énergie Et préserver ma propre vie dans toutes ses dimensions et ma propre santé.
Voir le profil de Sylvie…

avec ma famille nous nous sommes occupées de nos parents. Ils ont eu, à 4 ans d'écarts, une maladie qui les a emportés de la même façon en quelques semaines.
Voir le profil de véronique…
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Voir le profil de Sylvie…
Apporté ma bonne humeur, mon écoute, mon affection Massages, caresses, aide pour: les soins corporels, la toilette, les repas...
Voir le profil de Laïla…
Voir le profil de Rachel…

- eu la chance d'écouter et essayer de reconforter des femmes et des hommes confrontés aux difficultés de la vie ! - douté sur mes capacités à aider
Voir le profil de David…

J’ai été confrontée à la maladie de mes 2 parents en même temps alors que j’étais moi-même jeune maman. J’ai vécu beaucoup de culpabilité de ne pas pouvoir faire plus et je me suis souvent sentie seule et épuisée.
Voir le profil de Aurelie…
Voir le profil de Peguy…
Voir le profil de Marie…
L'aidance, m' a permis de rencontrer de nombreuses belles personnes, et plus particulièrementr des aidant(e)s professionnelles.. Ils m'ont permis de tenir le coup, d'avancer et de me reconstruire
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Voir le profil de Gabrielle…
j'ai aidé pour les moments intimes comme la toilette, donné et préparé les repas, donné certains soins et médicaments, fait des surveillances de nuit, fait les changes, les promenades, j'ai partagé les moments difficiles ainsi que les bons moments car oui il y en a
Voir le profil de sandrine…

Voir le profil de Lucie…
Lorsque j'étais aidante, j'ai bien souvent été submergée par mes émotions. Le soutien de mes proches m'a aidé a surmonter cette épreuve. La pratique de la Sophrologie m'a permis de me préserver dans les moments difficiles et à prendre du recul.
Voir le profil de Marie-France…
Ressenti beaucoup de colère et de frustration face à mon impuissance avérée. J'ai grandi grâce à ça.
Voir le profil de Sabrina…

Grâce à mon expérience d'aidant pendant 6 ans auprès de mon épouse insuffisante respiratoire grave (trachéomisée), je pense pouvoir comprendre le ressenti de chaque aidant (ayant moi même éprouvé les mêmes sentiments) et leur apporter un soutien
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Voir le profil de Eva…

à certains moment de sa maladie, dû passer le relais aux services hospitaliers et je suis reconnaissant d'avoir pu le faire même si la décision était difficile à prendre.
Voir le profil de Matthieu…

J’ai connu à la fois la douceur d’un tel accompagnement, et les peines, la fatigue, les doutes, la culpabilité, et les innombrables difficultés pratiques et financières auxquelles sont confrontés les aidants familiaux.
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Pour mes parents nous avons pu travailler en concert entre frères et sœur
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écouté, soutenu, accompagné la perte d'autonomie, pris en charge la gestion de la maladie de mon enfant notamment, insufflé des moments de simplicité et de joie, été présente à l’hôpital…
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